Une aventure photographique inédite
Une exposition de 18 photographies en grand format sur bâche (100×150) montées sur châssis en bois, présentées en extérieur.
La croisière méditerranéenne d’un explorateur mystérieux
Le témoignage d’un marin photographe actif au début du XXème siècle.
Scènes saisissantes de la vie en mer
Entre une cheminée de paquebot, un biplan tournoyant dans un ciel bleu, et un hublot révélant un officier concentré sur son travail, ces clichés capturent des moments éphémères. À l’ombre d’une pinède méditerranéenne, deux matelots vêtus de blanc posent avec une valise en osier et une bouteille de vin. Plus tard, ils se reposent dans la fraîcheur d’un lavoir, où la bouteille est déjà bien entamée. On aperçoit également un homme en manteau, chapeau à bord droit, nourrissant des pigeons sur la place Saint-Marc à Venise.
Un regard intimiste sur l’équipage
Sur cette même place, un photographe dissimulé sous un drap noir ajuste sa chambre photographique, tandis qu’un homme élégant dans le jardin de l’Acropole admire le Parthénon. Ces 40 photographies, probablement prises entre 1920 et 1930, nous entraînent à Venise, à l’Acropole, à Madère, en Algérie, et le long de rivages méditerranéens non spécifiés. Le photographe jette un regard humaniste sur les membres de l’équipage et les croisiéristes durant leurs visites, évoquant ainsi les maîtres de la photographie du début du XXème siècle.
Un témoignage exceptionnel
Bien que ces images semblent être des souvenirs à caractère personnel, l’auteur démontre une maîtrise incontestable du cadrage et de la composition. La valeur potentielle de la photographie transparaît, transformant ses souvenirs en bien plus qu’un simple album de voyage. Ce projet se distingue par la qualité technique des images, l’originalité des angles de vue, et la thématique explorée.
Qui était ce photographe ?
Nous manquons d’informations sur son identité. Était-il marin, officier ou simplement un croisiériste passionné ? Une certitude émerge : ces clichés ont été découverts dans une maison de Locmariaquer. Était-il résident de cette région ? À quelle époque ? Le mystère reste entier.
L’origine des photographies
En 2010, un lot de négatifs trouvés dans un sac en plastic, submergé par l’eau de pluie, émerge d’une brocante de la région. Un photographe, intrigué par une ou deux scènes potentiellement intéressantes visibles à travers les négatifs, décide d’acquérir l’ensemble après un rapide coup d’œil.
Informations légales
Toutes les photographies présentées dans cet article sont propriétés de leurs créateurs respectifs. Leur utilisation en dehors de la promotion du festival Escales Photos, sans autorisation écrite des auteurs, est interdite et peut entraîner des poursuites, conformément à l’Article L. 111-1 du Code de la propriété intellectuelle.
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